After the indulgent Christian festivities of December and January, Feu Follet’s investigation takes you on the trail of a modern disciple of Saint Francis, Charles de Foucauld, who, like his illustrious predecessor, laid down arms for a life of asceticism and altruism. Written from his hermitage in the Hoggar Mountains, on the Assekrem plateau, the letter presented today offers a glimpse into the life of an hermit among the Tuareg people—a life lived by one of the very few contemporary Saints.
Bibliophilia is, in many respects, a form of spirituality.
From Hebrew exegesis that inspired the humanists to the birth of printing under the auspices of the Gutenberg Bible, and the sublime art of Quranic calligraphy, the religions of the Book and the religion of books have always shared historical and philological affinities.
What reader has not, at some point, dreamed of being a Carthusian monk, alone in the silent monastery of their library? What collector has not imagined the one book they would take to a solitary island retreat? Who has not referred to their favorite book as their "bible," no matter how staunchly anti-clerical they might be?
Some may claim their literary pantheon owes more to an Epicurean paganism than to any stern monotheistic orthodoxy. But they will soon recall that it was thanks to a monk that their Gargantuan literary appetite can "break the bone and suck out the marrow" of their ideal library.
othèque idéale.
L'Enquête. Charles de Foucauld ou la Tentation du Désert
Après les gourmandes festivités chrétiennes de ces mois de décembre et janvier, l’enquête du Feu Follet vous conduit sur les traces du disciple moderne de Saint-François, Charles de Foucauld, qui comme son illustre prédécesseur, déposa les armes pour une vie d’ascétisme et d’altruisme. Rédigée dans son ermitage du Hoggar, sur le plateau de l'Assekrem, la lettre présentée aujourd’hui témoigne de la vie d’ermite aux côtés des touaregs d’un des très rares Saints contemporains.
De la Vega est arrivé – Sachs vend le Poe de l’ours – Grandville rêvait d’un autre monde
Le Comte est bon – Comédie post-romantique
Son nom est personne – (Ro)Bo(ris) v(I.A.)n – Hugo secoue la poire
Blanche, j’y pense et puis j’oublie
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Boris VIAN
Manuscrit autographe complet et signé de la nouvelle "Le Danger des classiques"
Paris [1950]
« On n'a pas encore tenté de doter la machine d'une culture générale... »
Impressionnante nouvelle d'anticipation dans laquelle Boris Vian prophétise l'intelligence artificielle comme module de conversation appuyé sur l'intégration de données encyclopédiques.
Très rare manuscrit romanesque signé par Boris Vian.
Édition originale, un des 60 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête. Très bel exemplaire parfaitement établi dans une magnifique reliure en plein box mosaïqué de J.P. Miguet.
Édition originale de cet ouvrage considéré comme le chef-d'œuvre de Grandville et premier tirage des illustrations. Ouvrage illustré d'un frontispice, de 36 superbes planches hors-texte coloriées ainsi que de 146 bois en noir in-texte. Agréable exemplaire de ce beau livre précurseur du surréalisme.
A. Lacroix & Verboeckhoven & Cie | Paris & Bruxelles & Leipzig & Livourne 1864
Édition originale. Reliure en demi chagrin noir d'époque. "Il y a des hommes océans" écrit Hugo. C'est aussi une définition de l'artiste politique et une doctrine artistique, le grand testament théorique de Victor Hugo.
Édition originale de la traduction française entièrement revue par Valéry Larbaud avec l'assentiment de James Joyce, un des 1045 exemplaires numérotés sur alfa. Bel exemplaire parfaitement établi dans une rare reliure de l'époque par Louise Pinard.
Édition originale collective de ce choix de contes traduits en français par Marie Bonaparte, Maurice Sachs et Matila C. Ghyka, un des exemplaires du service de presse. Notre exemplaire est enrichi d'un exceptionnel envoi autographe, en anglais, de Maurice Sachs.
Réimpression des œuvres chez Houssiaux. Houssiaux les compléta par trois nouveaux volumes (Théâtre, Contes drôlatiques...) qui paraissent ici pour la première fois dans les œuvres en 1855.