"Cher Ami, Je trouve votre lettre du 1er mars à mon retour du Japon ; d'où mon retard à vous répondre, ne m'en veuillez pas. Je n'ai reçu aucune invitation du Congrès pour la liberté ; de toutes manières, voyez-vous, je ne pourrai me libérer en juin, maintenant c'est saturé - terriblement. Et non plus aucune nouvelle de la parution des Essais critiques...Donc, ce sera, je l'espère, pour l'année prochaine ; à moins que l'on ne se voie avant à Paris, si vous voulez bien me faire signe à votre passage. A vous, R. Barthes"">