Deuxième lettre à M. Odillon Barrot. Sur le procès de Wilfried Regnault, condamné à mort. Avec un plan figuré du lieu où s'est commis l'assassinat
Chez Bechet, Planchet, Delaunay|à Paris 1818|13 x 21.50 cm|broché
250 €
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⬨ 20020
Edition originale. Broché, sous papier bleuté d'époque. Seconde lettre rédigée par Benjamin Constant à l'adresse de l'avocat à la cour de cassation Odillon Barrot, dans laquelle l'auteur prend une fois de plus la défense de l'accusé, condamné à mort non sur des preuves mais des rumeurs et des préjugés. « Je montrerai tout à l'heure que de tous ceux sur qui le soupçon pouvait planer, Regnault était celui qu'il devait le moins atteindre. » Constant reprend l'ensemble des faits du procès, les examine et les confronte, et démonte l'accusation. La relation est fort intéressante.